La phase qualitative de l'opération « Bien-être au travail », construite autour de 37 focus groups, s'est terminée le 26 avril. Un certain nombre de difficultés relatives aux conditions de travail des personnels de l'Université de Strasbourg a été dépisté grâce à ce dispositif. Ces conclusions doivent être confirmées ou infirmées par une phase quantitative, via un questionnaire qui sera adressé autour du 15 mai à chacun d'entre nous.
Entre le 15 janvier et le 26 avril, 37 focus groups réunissant de 3 à 14 personnes ont été organisés. Les participants de ces groupes avaient été préalablement tirés au sort. 675 Biatoss ont été invités, 30% d'entre eux y ont effectivement participé. De même, 1 519 enseignants-chercheurs ont été sollicités, 8% seulement étaient présents à un focus group.
« Dans un cas comme dans l'autre, on peut dire que la participation a été faible, commente Didier Raffin, psychologue du travail, qui pilote cette opération au titre du Laboratoire de psychologie des cognitions, même si c'est encore plus vrai pour les enseignants-chercheurs. Dans certaines entreprises, on atteint facilement 70% de participation. Concernant les Biatoss, on peut avancer deux hypothèses : ils n'ont pas tellement l'habitude qu'on leur demande leur avis sur leurs propres conditions de travail, et ils doutent probablement de la capacité de l'institution à se réformer concrètement. Concernant les enseignants-chercheurs, on s'est heurté à des problèmes logistiques de coïncidences de dates avec des cours. Par ailleurs, je pense que les enseignants-chercheurs ne se sentent pas en relation hiérarchique avec l'Université, plutôt avec leur labo ou directement avec les instances nationales -CNU, AERES, etc.»
Résultats et plan d'actions en juillet prochain
Cette première phase de l'opération « Bien être au travail » est désormais terminée. La consultation, malgré le taux de réponse modeste, a été riche et a permis de cerner un certain nombre de difficultés. Un questionnaire est en cours d'élaboration à partir ces éléments : il sera envoyé individuellement à chaque personnel aux alentours du 15 mai. « Il suffira de cliquer sur un lien qui dirigera la personne vers un questionnaire sur un serveur sécurisé, afin de garantir une complète confidentialité », précise Didier Raffin. Cette phase, dite quantitative, atteindra ses objectifs si le nombre de réponse est suffisantUniversité en action.
La restitution finale de l'enquête se déroulera sur les deux premières semaines de juillet devant le CA, le CTP, le SHS... Aux résultats proprement dits de l'enquête s'ajouteront des propositions de plan d'action, pour agir très concrètement sur les causes du mal être. « Sinon, nous ne serions pas très crédibles, commente Didier Raffin. Les actions peuvent porter sur les conditions de travail au sens large (locaux, voisinage, etc), le management (évaluation du travail, gestion des compétences), l'organisation du travail (répartition des tâches, visibilité sur le travail, organigrammes), et le harcèlement, qui sera traité de manière spécifique ».
C.L.
D'ici la fin mai, la Présidence, la Direction générale des services, l'Espace Avenir et le Service d'aide au pilotage seront installés dans l'extension du Patio.
L'architecture de ce bâtiment repose sur une réelle prouesse technique : le cône inversé qui le traverse sur ses quatre niveaux est assis sur une zone très ouverte. Conçu avec une forte personnalité architecturale voulue dès le cahier des charges du concours, il donne une accroche au Patio dans le paysage.Patio auquel il est d'ailleurs relié par une passerelle. Bâtiment HQE (Haute qualité environnementale) et résolument moderne, l'extension du Patio est l'œuvre de l'architecte parisien Thierry Van de Wyngaert, qui a notamment restauré la tour Zamansky sur le site de Jussieu.
A la genèse de ce bâtiment, 2 projets datant de la présidence d'Albert Hamm : l'extension du bâtiment administratif de l'Université Marc Bloch (UMB) et EVE (Espace de la vie étudiante pour l'UMB). En 2002, le président de l'UMB de l'époque, François-Xavier Cuche et Bernard Michon, son successeur, proposent au directeur général de l'Enseignement supérieur et au préfet de la Région Alsace de regrouper les 2 opérations. Ce projet a été financé principalement (75%) par les fonds propres de l'UMB avec un soutien de l'Etat de l'ordre de 1,5 millions d'euros. L'extension du Patio a vu le jour grâce a une volonté constante et forte des équipes dirigeantes de l'Université Marc Bloch et grâce au soutien consensuel des personnels qui ont accepté de voter à deux reprises des restrictions budgétaires pour les services et composantes tant le déficit de surface était important. Après la fusion, lors du choix du lieu de la localisation de l'Espace Avenir et de la présidence de l'Université de Strasbourg, et compte tenu de l'avancement du projet, il était naturel de s'inscrire dans la continuité de la vision d'avenir des porteurs de projets.
Les surfaces libérées par les différents services vont être progressivement réinvesties par la Direction de la recherche pour l'Institut Le Bel, libérant ainsi dans la Faculté de droit des espaces indispensables pour les formations. Le regroupement des Espaces Avenir va permettre d'optimiser l'accueil des étudiants et du fonctionnement du service en un lieu unique avec une identité forte. Enfin, conformément aux engagements de l'Université Marc Bloch, le préfabriqué devant le Patio sera démoli avant la fin de l'année, les personnels l'utilisant étant progressivement relocalisés.
Les réorganisations et mouvements de services devraient s'achever pour la rentrée 2010, l'Actu reviendra sur ce schéma dans un prochain numéro.
Quelques chiffres :
Les personnes clés de ce projet à l'Université :
Le nouveau directeur du Service de la formation continue arrive à un moment crucial de ce secteur : pour préserver sa place de choix dans le paysage français, la formation continue strasbourgeoise va devoir développer de nouveaux outils, en particulier dans le marketing et l'analyse du marché.
Marc Poncin, arrivé en février dernier, succède à l'emblématique Joseph Joly, qui a développé le service pendant plus de vingt ans.
Votre profil est très différent de celui de Joseph Joly...
Oui ! Mais nous avons un point commun important : la passion pour la formation. J'ai travaillé en tuilage deux mois avec lui, et il me laisse un service qu'il a entièrement construit, où je trouve une trentaine de personnes intéressantes, motivées, et non réticentes aux changements. C'est très important !
Sinon, je viens de chez Adecco, connue pour son activité d'interim, mais qui est aussi n°1 dans les métiers de l'accompagnement à l'emploi. Ce sujet est aussi celui de ma thèse, que je mène depuis trois ans. Je travaille sur l'insertion, la formation à l'emploi, les problématiques de formation tout au long de la vie, la sécurisation des parcours professionnels... Pour cela, et pour la R&D Adecco, j'ai développé plusieurs partenariats avec des universités, dont celle de Strasbourg, évidemment. Je viens donc des sciences de gestion. Chez Adecco, je travaillais à Lyon, depuis cinq ans au siège de l'entreprise, en charge de la R&D sur l'accompagnement et précédemment responsable de formation pour tout le Grand Est.
Quelle est votre approche de ce service ?
Venant du privé, je ne compte pas appliquer « sauvagement » des méthodes du privé, mais au contraire respecter la culture de l'Université, centrée sur le service public. C'est bien pour cette raison que je suis venu ici. Pour autant, le Service de formation continue est particulier, car il fonctionne en complet auto-financement. L'aspect économique est donc très important. Aujourd'hui nous avons 50% du chiffre d'affaires qui repose sur des formations dans le domaine de la santé. C'est une position fragile, je vais donc chercher à développer les formations dans d'autres domaines de compétence et d'excellence de l'Université, pour sécuriser cet aspect économique.
Il faut aussi prendre en compte la dimension technique de notre offre, et avoir une approche marketing propre à l'université, qui corresponde bien au marché. Les autres organismes, sur cette question, ne nous attendrons pas, et n'hésiteront pas à nous devancer. Avec la loi LRU, la mise en place des Pôles d'excellence, nous sommes obligés de changer de stratégie. Cela signifie notamment de ne plus s'appuyer sur la diffusion large d'un catalogue. Cette technique devient en partie obsolète. J'ai créé une cellule de marketing opérationnel pour revoir notre stratégie. Il faut aussi développer la veille pour mieux nous adapter aux besoins des entreprises. Cela signifie aussi d'être force de proposition, de créer des formations spécifiques, qui augmenteront notre attractivité dans certains domaines.
Il s'agit de faire la différence avec d'autres organismes ?
Exactement, nous devons bâtir une stratégie différenciatrice sur nos formations, et nous interroger aussi sur de nouvelles ingénieries. Par exemple, l'enseignement à distance a besoin d'outils, et nous pouvons aussi gagner en souplesse sur la conception des formations : par exemple permettre de faire un master en plusieurs années, avec des financements différents, en fonction des périodes de disponibilité des personnes... Ces profils sont plus nombreux, notamment depuis la mise en place de la GPEC (gestion prévisionnelle des emplois et compétences) dans les grandes entreprises.
Ces nouvelles demandes nécessitent aussi une nouvelle offre, de nouveaux outils pour montrer notre capacité à gérer des parcours professionnels et ainsi nous différencier.
Cette différenciation devenant elle-même une contribution au rayonnement de l'Université de Strasbourg.
J'ai conscience que ce sont de gros chantiers, d'autant que les outils de gestion interne changent aussi. J'arrive à un moment où l'environnement interne et externe est en pleine mutation, et qui plus est, dans un contexte de crise économique. Mais il ne faut pas oublier l'humain dans tout cela : nous vendons de l'enrichissement humain, c'est un « produit » noble.
Propos recuillis par Virginie Vendamme
Piloter nécessite de se projeter et de s'adapter en permanence aux évolutions. Les deux sujets discutés lors de la réunion du Congrès qui a eu lieu le 30 avril, relèvent de cet état d'esprit. Le Grand emprunt et le PRES Alsace font actuellement l'objet de réflexions qui devront déboucher sur des décisions dans le court ou le moyen terme, mais qui agiront sur le devenir de l'enseignement supérieur et de la recherche en Alsace dans les dix prochaines années.
Le Président a d'abord souhaité porter à la connaissance des membres des trois Conseils centraux de l'Université et des représentants des personnels au Comité technique paritaire, composant le Congrès, l'état des informations connues à ce jour sur le Grand emprunt.
Le Grand emprunt décidé par le Gouvernement accorde 35 milliards d'euros de crédits supplémentaires sur le budget de l'Etat, qui financeront quatre priorités : l'enseignement supérieur, la formation et la recherche, l'industrie et les PME, le développement durable et le numérique. Si les dotations se feront en capital, l'utilisation concernera les intérêts des sommes attribuées.
La priorité clairement affichée à l'enseignement supérieur, la formation et la recherche concerne les universités, les organismes de recherche et les écoles partenaires. Sur ces 35 Md€ prévus, 22 reviendront à la Mission Interministérielle Recherche et Enseignement Supérieur. Le suivi global sera assuré par le Commissariat général aux investissements. Le calendrier du déroulement des opérations devrait être connu prochainement. Tous les appels d'offres devraient être lancés en même temps, mais on sait déjà que plusieurs d'entre eux seront gérés par l'ANR. Si, bien des précisions sont encore attendues, notre site doit établir une stratégie pour être prêt à répondre sur les secteurs qui seront choisis. L'appel à idées lancé en janvier était destiné à y contribuer : il a d'ailleurs suscité 129 réponses qui, n'ont pas fait l'objet de restitution publique puisque les sites universitaires vont être en concurrence jusqu'aux décisions d'attribution de moyens. Ces réponses seront traitées au sein des groupes de travail qui vont être mis en place.
Ce Grand emprunt ne doit pas être considéré comme une source de subventions nouvelles pour des projets spécifiques à court terme. Les actions qui seront proposées, devront s'inscrire dans la stratégie globale adoptée par l'Université. Il s'agit donc d'exprimer originalités et innovations par des projets audacieux. Ces actions devront permettre de développer les outils de la connaissance, d'innover en formation initiale et continue, de soutenir et favoriser l'excellence en recherche et d'affirmer l'ouverture de l'université à la société.
Chaque projet aura un porteur, mais la coordination sera essentielle, or le site de Strasbourg possède, dans ce domaine, de nombreux atouts.
Un comité de pilotage va être mis en place ainsi qu'une cellule projet qui sera dirigée par M. Guy-René Perrin, professeur d'université, qui a été délégué régional de la recherche et de la technologie et directeur de la recherche, de l'enseignement supérieur et du transfert de technologie à la Région Alsace. Toutes les propositions qui en émaneront, seront soumises pour discussion et validation aux Conseils légaux.
Lors de la discussion, les représentants de plusieurs organisations syndicales ont fait part de leurs réflexions, de leurs interrogations ou réticences et ont rappelé plusieurs questions qui se posent encore sur la documentation, la restructuration des SHS, le rôle des collégiums et les conséquences que pourraient avoir le mode de relations avec l'UHA.
Parmi les risques qu'un tel système faisait courir à la recherche, a été citée la dépendance aux marchés financiers. S'il peut y avoir compétition entre les chercheurs, la possible concurrence entre les sites que ce dispositif pourrait créer, est condamnée. Est préféré le maintien d'une conception de la notion d'aménagement du territoire la plus large possible qui doit donc conduire à la nécessité de prendre en compte l'ensemble des disciplines, dans les appels d'offres. Il a été également souligné qu'aller vers l'innovation, nécessite que soit d'abord assuré le fonctionnement des instances mises récemment en place.
A l'écoute de ces questionnements, Alain Beretz a tenté de lever quelques incertitudes. Par exemple, en ce qui concerne les modalités de coopération avec l'Université de Haute Alsace, il a souligné que l'excellence portée dans le cadre du Grand Emprunt pouvait reposer sur les synergies créées entre des laboratoires de Strasbourg et de Mulhouse. Il s'est dit confiant dans la capacité de l'Université de Strasbourg à générer un projet cohérent et d'envergure apte à irriguer l'ensemble des disciplines. L'atout tiré de la gouvernance est à cet égard essentiel.
Les représentants des étudiants espèrent que les projets du Grand emprunt permettront de développer de nouvelles initiatives, en particulier dans le domaine du numérique et de faire évoluer les moyens de l'Université.
Le Président a également souhaité, à l'occasion de cette réunion, faire part de l'état d'avancement de la réflexion sur le PRES Alsace.
Depuis la création des PRES, deux types sont apparus : les PRES de pré-fusion et les PRES fédératifs entre des établissements de formation et de recherche.
Au moment de la création des PRES, Strasbourg a choisi le processus direct de fusion des trois universités. Depuis, de nombreux PRES ont été créés, conduisant à un premier constat : l'Alsace est une des rares régions de France où il n'en existe pas.
Pour l'Université de Strasbourg, un PRES ne doit être ni une nouvelle structure pour des actions inter-universitaires déjà existantes, ni une simple vitrine. Les discussions et les réflexions doivent, avant de porter sur les statuts, proposer des missions et des contenus.
Si la véritable plus-value d'un PRES peut être la structuration territoriale de la recherche et de la formation, pour l'atteindre, tous les partenaires doivent y trouver des avantages. Dans cet esprit, une concertation doit être assurée à tous les niveaux afin de permettre une véritable adéquation entre l'enseignement supérieur et la dynamique du développement local : économique, social et culturel.
La plupart des PRES existant s'appellent « Université de… » ; or, ils ne regroupent pas que des universités. Le projet pour l'Alsace pourrait reposer sur deux niveaux de regroupement : université d'une part, et autres partenaires, d'autre part. Une structure de concertation légère et opérationnelle de type « cluster » assurerait une gouvernance unique avec une spécialisation positive des sites. Les sites universitaires sont ceux de l'Université de Strasbourg (la CUS, Haguenau, Sélestat, Colmar et Guebwiller) et ceux de l'UHA (à Mulhouse et Colmar). Le mode de collaboration entre ces deux sites universitaires actuels reste à définir, l'Université de Haute Alsace n'ayant pas encore formulé de propositions concrètes. Le deuxième cercle « académique » serait constitué de : l'ENGEES, la BNU, l'INSA et l'ENSAS. Les autres membres de ce cluster seraient constitués des organismes de recherche, des centres de formations artistiques, des HUS et des partenaires naturels que sont le CROUS et les collectivités locales.
Divers avis se sont exprimés : si, compte-tenu de l'évolution du contexte national, certains ne sont pas opposés à un rapprochement progressif des deux universités, à condition que soient clairement définies les garanties réciproques, y compris pour les BIATOS, de créer une véritable université multi-sites, d'autres sont opposés à tout projet de fusion, préférant le principe d'organisation d'un réseau de coordination basé sur les principes de proximité de subsidiarité et de collaborations multilatérales. Alors que l'Université de Strasbourg doit encore assumer les conséquences de la fusion de janvier 2009, il apparaît nécessaire d'éviter toute décision précipitée et, en tout état de cause, d'organiser une large consultation. En revanche, l'avis que va voter le CESA, lundi 3 mai, est clairement favorable à la fusion.
Ce chantier est essentiel pour l'avenir de l'enseignement supérieur et de la recherche en Alsace. Mais, d'un point de vue plus général, il peut aussi être considéré comme majeur pour la Région Alsace : l'Université avec tout ce dont elle est porteur : image, emplois, attractivité, développement économique doit donc prendre en compte cette dimension dans ses réflexions.
A la fin de ce débat qui n'avait pas pour but de prendre des décisions, mais qui se voulait être un premier partage d'informations avec les représentants des instances de l'Université, le Président a clairement affiché la nécessité de donner du temps à la réflexion et donc de ne pas prendre de décision précipitée. Il estime toutefois que l'immobilisme pourrait conduire à un déséquilibre dont pâtiraient les étudiants et que l'urgence de certains enjeux devra être un des éléments dans la solution qui sera retenue.
Sur le Grand emprunt, comme sur le projet de PRES, la réflexion va se poursuivre et les différentes étapes d'évolution en seront présentées aux instances concernées et une large communication leur sera assurée.
Personnels du CFEB
Avant que ne soit abordé le premier point de l'ordre du jour de cette réunion du Congrès, la lecture d'un communiqué des personnels du Centre de Formation à l'Enseignement Bilingue de Guebwiller a rappelé leurs inquiétudes sur l'avenir de ce site, si des décisions devaient remettre en question l'accueil des étudiants de masters pour le parcours « Enseigner l'allemand et en allemand » à la rentrée prochaine.
Le Président s'est dit prêt à aller à Guebwiller pour dialoguer avec eux, puisqu'il n'a pas pu se rendre à la réunion du Conseil d'Ecole organisée au même moment que ce Congrès. Il a également précisé que le Rectorat et les Collectivités sont partie prenantes dans le fonctionnement de ce centre et que l'Université s'associera aux réflexions qui seront conduites pour trouver un consensus de qualité.
Le chauffeur du président de l'Université conduira prochainement une Prius hybride rechargeable. L'Université de Strasbourg participe ainsi à l'expérimentation en grandeur réelle d'une centaine de véhicules hybrides rechargeables (VHR) lancée fin avril dernier par Toyota, EDF, la Ville de Strasbourg et la CUS.
Equipée d'une batterie ion Lithium, cette Prius pourra être rechargée via une prise électrique à 150 points de charge, dont une à l'Université et rejette seulement 59 g de CO2 par km.
Le programme fait partie d'un projet mondial déployé par Toyota avec 600 véhicules, testés également au Japon, aux Etats-Unis, au Canada et en Australie. L'objectif est d'accélérer l'étude de la technologie et des performances des VHR. La démonstration permettra d'obtenir un retour d'expérience éclairant sur le degré d'acceptation des conducteurs de ce nouveau concept d'automobile pour préparer sa commercialisation prochaine sur une grande échelle.
Mais où se trouve la boutique de l'Université de Strasbourg et que peut-on y acheter ?
Que vous soyez étudiant, enseignant, chercheur, ou BIATOS, vous y trouverez des objets utiles à tous.
Rendez-vous au 14e étage de la tour de chimie, au Service de la communication et plus particulièrement dans le bureau de Françoise Gast. Vous pourrez y acheter des blocs-notes, des stylos, des parapluies... et depuis peu des mugs et des clés USB (2 Go) aux couleurs de notre Université.
Visitez également la boutique sur le site internet de l'Université : www.unistra.fr rubrique « Université » puis « La boutique de l'Université », ou via votre lettre électronique préférée à la rubrique « Pratique ». Vous pourrez y consulter la liste des objets avec leur photo et leurs prix (TTC pour des achats effectués à titre personnel et HT pour établir un bon de commande avec les références comptables suivantes, compte d'imputation : 6288 ou 6237 pour les éditions / Code fournisseur 109 / destination DZPI).
Contact : francoise.gast@unistra.fr
03 68 85 11 34
Soucieuse de sa responsabilité au travers des savoirs qu'elle porte et pour marquer son engagement, l'Université de Strasbourg diffuse ce petit guide écologique. Il a été rédigé de manière à nous aider à concourir à la préservation de notre environnement aujourd'hui et demain. Les conseils qu'il nous donne sont faciles à mettre en œuvre pour économiser les ressources de notre planète.
Pour vous procurer l'Eco-guide adressez-vous au Service de la vie universitaire ou à l'adresse suivante :
Le Patio, bâtiment 1 au rez-de chaussée
22 rue René Descartes
Entrée côté Atrium
Campus de l'Esplanade
Strasbourg
L'Institut des hautes études européennes (IHEE) s'est doté d'un nouveau site.
Ce site a été intégralement développé en interne avec les ressources humaines de la Direction des Usages du Numérique (DUN) et est hébergé sur les ressources matérielles de la Direction Informatique (DI) de l'Université.
Bonne navigation : http://ihee.unistra.fr
En l'absence d'Agnès Villanueva, partie en congé maternité, Fanny Del, précédemment secrétaire de rédaction de L'Actu, la remplace comme rédactrice en chef, responsabilité qu'elle partage avec Caroline Laplane. C'est Catherine Schröder qui remplace Fanny Del comme secrétaire de rédaction, tandis que Virginie Vendamme, journaliste indépendante, collaborera régulièrement à la rédaction.
Mais pour contacter L'Actu, la procédure est inchangée, écrivez à : lactu@unistra.fr
Votre information sera traitée dans L'Actu... si elle est pertinente et nous parvient avant le mercredi midi précédent la parution. Consultez le planning des parutions.
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